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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 09:55
Je voudrais vous faire partager quelques commentaires de personnes qui ont lu mon recueil de Poésies.

Je les remercie de tout coeur.

 

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Antoine PISCIOTTA a écrit le 15 avril 2010


Je ressens une très grande fierté pour ce que tu as
fait, j'espère et je souhaite que ce livre de poésie
en appellera d'autres
Michele PISCIOTTA a écrit le 15 avril 2010
A travers tous ces poèmes
Je suis émerveillée par toi ma fille
Cette grâce d'écriture , un vrai bonheur
Quelle fierté pour ta maman
Denise LOTTA a écrit le 07 avril 2010
les mots frappent a la porte de notre coeur, un coeur souvent trompé mais jamais brisé.
beatrice canovas a écrit le 31 mars 2010
Ceci n'est pas un livre, c'est la vie, celle de tous et toutes qui veulent bien se donner la peine de la vivre, sans économie de sentiments, tous ces sentiments qui font de nous des êtres humains...
Le livre qui faut lire ABSOLUMENT !!
Gaëlle MANN a écrit le 31 mars 2010
L’auteur a une facilité, innée, pour transcrire en poésie ses sentiments, ses doutes, ses espoirs, ses joies et ses cris étouffés. Les sentiments sont analysés avec finesse, subtilité et avec une grande pudeur. Ils sont très sensibles, spontanés et sincères. La poésie semble couler naturellement, jaillir d’une source vive et féconde. Ils touchent, ils émeuvent, et ils possèdent le charme d’une grande musicalité. Cette vibration d’amour domine l’ensemble du recueil grâce à un rythme profond, incessant comme une danse, une valse mélancolique et humaine.

Très souvent, on remarque des bonheurs d’expression, des grâces d’écriture, emmenés par le souffle, l’inspiration de l’auteur, qui ne trouve sa vraie vie que dans l’expression lyrique.

Elle transfigure son univers amoureux et passionné par son chant insistant, aux multiples reflets et nuances. On en retire une impression de beauté. Ces poèmes ont une âme, un cœur qui bat dans chacun d’eux. Ils sont sensibles, originaux, et parlent de la volupté de l’amour, de ses joies et de ses souffrances avec une sensibilité et une intelligence peu communes.

On mesure là, l’âme subtile de l’auteur, son amour pour la vraie vie, et sa générosité, qui est la signature même des véritables poètes.
patrick SARDOU a écrit le 17 mars 2010
Comme des papillons qui voltigent dans une folle valse, celle de la vie, c’est un livre où le verbe invite au voyage ; les mots ne sont là que pour donner le tempo, et devenir musique à leur seule lecture. La grâce de l’écriture est donc omniprésente dans cette fresque, en agissant comme un subtil pinceau qui colore chaque émotion, bonheur, amour ou souffrance. Elle s’apparente à un chant voluptueux accroché à l’arbre du Bonheur et de l’Amour, tandis que la signature d’âme sensible de son auteur, à ses pieds, lui tend les mains pour recueillir les fruits de la poésie.

Je terminerais en disant de cet ouvrage que les rides du souvenir n’altèrent en rien les qualités de l’Âme ; bien au contraire, elles se transforment en rivières lyriques, pour mieux l’alimenter… Nous avons là, à partir de ce recueil qui se veut simple, sincère, avec une écriture tout à fait féminine et sensible, une invitation de nature angélique à une réflexion poétique.

 

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20 avril 2010 2 20 /04 /avril /2010 15:59

 

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A Sydney, une station radio donne des prix aux gens qui racontent leurs histoires les plus embarrassantes. celle-ci a gagné le grand prix : 5000 dollars : lisez plutôt :

 

 

"J'avais un rendez-vous ce matin chez le gynécologue lorsque je reçus un appel du cabinet l'avançant à 9h30. J'avais juste le temps de me préparer et de foncer.

 

Comme la plupart des femmes, je fais un petit effort d'hygiène supplémentaire pour ce genre de visite, mais cette fois, je n'avais pas le temps de faire le grand jeu. Je fonçais dans la salle de bain, attrapais une serviette à côté du lavabo, la trempais et me donnais un petit coup de nettoyage au bon endroit. Je jetais la serviette dans le panier à linge sale, m'habillais et pris la voiture.

Je fus au rendez-vous juste à temps à quelques minutes près. Connaissant par coeur la procédure, je me mis sur la table. Je regardais le mur à l'autre bout de la pièce. Je fus un peu surprise lorsque le Docteur me dit :"eh bien ! on a fait un petit effort supplémentaire ce matin ?!!!" mais je ne répondis pas.

 

Une fois la visite terminée, je rentrais à la maison pour une journée habituelle. Après l'école, ma fille de 6 ans m'appela de la salle de bain : "M'man, où est ma serviette?"

Je lui dis d'en prendre une dans l'armoire.

Elle me répondit " "Non, je veux celle qui était à côté du lavabo, j'ai mis toutes mes paillettes dedans".

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19 avril 2010 1 19 /04 /avril /2010 15:13

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Quand je suis revenue des Etats unis, j'ai écris un poème sur ce magnifique pays, avec ses extraordinaires couleurs, et cette immensité qui vous enveloppe corps et âme.

 

 

L’immensité 
 

Dans cette immensité, de fièvre et de lumière,

L’ocre se peint d’ivoire, le brun mut au soleil,

Et la terre de Sienne embellie dans la pierre

Nous offre un arc-en-ciel de l’orange au vermeil. 

Et toutes ces couleurs, propres à chacune d’elles,

Semblent jaillir de terre pour naître par le feu,

Elles ensoleillent la roche en déployant leurs ailes,

Pour embraser d’amour cet univers de Dieu. 

L’aube adoucit les tons, la lune les purifie,

Telle une renaissance au jour qui le précède ;

De la faune à  la flore la vie se fortifie

Et nous voyons au loin la nature qui cède. 

La perfection surgit, telle une providence,

Le silence conjure un simple cri du vent,

Et toute la beauté  offre sa révérence

Quand le soleil se couche sur ce briseur de temps. 

Nous avons pour bijou le cœur plein de lumières,

Avec l’espoir en Dieu qu’un jour on y revienne,

Nous gardons en mémoire l’étincelle en la terre,

Et nous prions le ciel que nos yeux s’en souviennent. 

 

                                                                               DELPHINE PISCIOTTA 

Pour ceux dont mon recueil de poésies intéresse, n'hésitez pas à me contacter sur mon mail : elfine22@orange.fr. Merci à vous.

 

 

 

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 09:50

 

 

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Lorsque les plumes les plus illustres se mettent au service de leur passion, l'amour et la littérature se confondent,, pour notre plus grand plaisir.

 

Voici une lettre de Juliette Drouet à Victor Hugo. De 1833 jusqu'à sa mort en 1883, juliette écrira chaque jour à Victor Hugo. ces lettres forment la plus extraordinaire correspondance amoureuse. Elle fut sa maîtresse toute sa vie mais jamais sa femme. Victor Hugo quant à lui, a écrit 300 lettres d'amour à Juliette.

 

" Cher adoré bien aimé, ta lettre a toutes les senteurs du paradis et tout l'éclat des astres. J'en ai l'enivrement et l'éblouissement comme si je respirais ton âme en pleine lumière de ton génie. J'en suis ravie et confuse comme le jour où tu m'as dit pour la premiere fois : je t'aime. A ce moment là j'avais peur de n'être pas assez belle pour tes baisers, aujourd'hui je crains de n'être pas assez ange pour ton amour ; et pourtant Dieu sait si je t'aime et comment je t'aime. Mes scrupules sont encore de l'amour. Modestie et orgueil, fierté et humilité, tout est amour en moi. Je t'admire comme un humble esprit que je suis ; je t'adore comme un être divin que tu es."

 

Lettre de Victor Hugo à Juliette :

 

"Je vous aime, mon pauvre ange, vous le savez bien, et pourtant vous voulez que je vous l'écrire. Vous avez raison. Il faut s'aimer, et puis il faut se le dire, et puis il faut se l'écrire, et puis il faut se baiser sur la bouche, sur les yeux, et ailleurs. Vous êtes ma Juliette bien-aimée"

 

"Tes lettres sont ravissantes. Ma vie est faite des regards que me donnent tes yeux, des sourires que me donne ta bouche, des pensées que me donne ta journée, des rêves que me donne ta nuit. Dors bien cette nuit, dors. Je te baise mille fois, Juliette bien aimée, dans toutes les parties de ton corps, car il me semble que partout sur ton corps je sens la place de ton coeur comme partout dans ma vie je sens la place de mon amour. Je t'aime, tu es ma joie."

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 08:32

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Je suis en train de lire un livre de Rainer Maria RILKE  qui s'intitule "Lettres à un jeune poète", en voici un extrait que je voudrais vous faire partager :

 

 

"Plongez en vous même, recherchez la raison qui vous enjoint d'écrire ; examinez si cette

raison étend ses racines jusqu'aux plus extrêmes profondeurs de votre coeur ;

Rapprochez-vous alors de la nature.  

Cherchez à dire, comme si vous étiez le premier homme, ce que vous voyez, ce que vous

éprouvez, ce qui est pour vous objet d'amour ou de perte. Décrivez vos tristesses et vos 

désirs, les pensées qui vous traversent l'esprit et la croyance à une beauté quelle qu'elle soit. Décrivez tout cela en obéissant à une honnêteté profonde, humble et silencieuse, et,

pour vous exprimer, ayez recours aux choses qui vous entourent, aux images de vos rêves

et aux objets de vos souvenirs.

Si votre vie quotidienne vous paraît pauvre, ne l'accusez pas ; accusez-vous plutôt,

dites vous que vous n'êtes pas assez poète pour en convoquer les richesses.

Pour celui qui crée, il n'y a pas, en effet, de pauvreté ni de lieu indigent, indifférent."

 

Rainer Maria RILKE

 

 

Poème d'Alfred de MUSSET qui je trouve épouse très bien le texte de RILKE

Réponse à la question "qu'est ce que la poésie ?"

 

Chasser tout souvenir et fixer sa pensée,
Sur un bel axe d’or la tenir balancée,
Incertaine, inquiète, immobile pourtant,
Peut-être éterniser le rêve d’un instant ;
Aimer le vrai, le beau, chercher leur harmonie ;
Écouter dans son coeur l’écho de son génie ;
Chanter, rire, pleurer, seul, sans but, au hasard ;
D’un sourire, d’un mot, d’un soupir, d’un regard
Faire un travail exquis, plein de crainte et de charme
Faire une perle d’une larme :
Du poète ici-bas voilà la passion,
Voilà son bien, sa vie et son ambition.


Alfred de MUSSET

 

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9 avril 2010 5 09 /04 /avril /2010 09:05

Alfred de Musset est né en 1810 (le 11 décembre) et mort le 2 Mai 1957 à Paris. Il a été dépressif et alcoolique dès l'age de 30 ans. Son grand amour fut George SAND. Son théatre et sa poésie montrent une sensibilité extrême, une interrogation sur la pureté et la débauche, une exaltation de l'amour et une expression sincère de la douleur. Sincérité qui renvoie à sa vie tumultueuse qu'illustre emblématiquement sa relation avec George Sand.

 

De 1835 à 1837, Alfred de Musset compose son chef d'oeuvre lyrique "Les Nuits". ces 4 poèmes sont construits autour des thèmes de la douleur, de l'amour et de l'inspiration.

 

De "la nuit de Mai", dont voici 1 extrait, à "la nuit d'Octobre", Musset évoque le problème du rôle de la souffrance dans la création poétique et dans la vie. De la ce dialogue si nouveau entre la muse et le poète tourmenté par la souffrance. Dans ce poème, la muse lui propose d'oublier son mal en laissant errer son inspiration.

 

Il est considéré aujourd'hui comme l'un des plus grands poètes romantiques français.

 

Je voulais vous présenter ce grand poète qui est Alfred de Musset avec 3 de ses plus beaux poèmes.  

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LA MUSE

 

Quel que soit le souci que ta jeunesse endure,
Laisse-la s'élargir, cette sainte blessure
Que les séraphins noirs t'ont faite au fond du cœur;
Rien ne nous rend si grands qu'une grande douleur.
Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ô poète,
Que ta voix ici-bas doive rester muette.

 

Les plus désespérés sont les chants les plus beaux,
Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage,
Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux,
Ses petits affamés courent sur le rivage
En le voyant au loin s'abattre sur les eaux.
Déjà, croyant saisir et partager leur proie,
Ils courent à leur père avec des cris de joie
En secouant leurs becs sur leurs goitres hideux.
Lui, gagnant à pas lent une roche élevée,
De son aile pendante abritant sa couvée,
Pêcheur mélancolique, il regarde les cieux.
Le sang coule à longs flots de sa poitrine ouverte;
En vain il a des mers fouillé la profondeur;
L'océan était vide et la plage déserte;
Pour toute nourriture il apporte son cœur.
Sombre et silencieux, étendu sur la pierre,
Partageant à ses fils ses entrailles de père,
Dans son amour sublime il berce sa douleur;
Et, regardant couler sa sanglante mamelle,
Sur son festin de mort il s'affaisse et chancelle,
Ivre de volupté, de tendresse et d'horreur.
Mais parfois, au milieu du divin sacrifice,
Fatigué de mourir dans un trop long supplice
,
Il craint que ses enfants ne le laissent vivant;
Alors il se soulève, ouvre son aile au vent,
Et, se frappant le cœur avec un cri sauvage,
Il pousse dans la nuit un si funèbre adieu,
Que les oiseaux des mers désertent le rivage,
Et que le voyageur attardé sur la plage,
Sentant passer la mort se recommande à Dieu.

  

LA MUSE

 

Poète, c'est ainsi que font les grands poètes.
Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps;
Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes
Ressemblent la plupart à ceux des pélicans.
Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées,
De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur,
Ce n'est pas un concert à dilater le cœur ;
Leurs déclamations sont comme des épées :
Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant;
Mais il y pend toujours quelques gouttes de sang.

 extrait de La Nuit de Mai, Alfred de Musset

 

 

Adieu !

Adieu ! je crois qu'en cette vie
Je ne te reverrai jamais.
Dieu passe, il t'appelle et m'oublie ;
En te perdant je sens que je t'aimais.

Pas de pleurs, pas de plainte vaine.
Je sais respecter l'avenir.
Vienne la voile qui t'emmène,
En souriant je la verrai partir.

Tu t'en vas pleine d'espérance,
Avec orgueil tu reviendras ;
Mais ceux qui vont souffrir de ton absence,
Tu ne les reconnaîtras pas.

Adieu ! tu vas faire un beau rêve
Et t'enivrer d'un plaisir dangereux ;
Sur ton chemin l'étoile qui se lève
Longtemps encor éblouira tes yeux.

Un jour tu sentiras peut-être
Le prix d'un coeur qui nous comprend,
Le bien qu'on trouve à le connaître,
Et ce qu'on souffre en le perdant.

 

 

 

Poème écrit par Alfred de Musset pour George SAND

 

A Mademoiselle

 

Oui, femme, quoi qu'on puisse dire
Vous avez le fatal pouvoir
De nous jeter par un sourire
Dans l'ivresse ou le désespoir.

Oui, deux mots, le silence même,
Un regard distrait ou moqueur,
Peuvent donner à qui vous aime
Un coup de poignard dans le coeur.

Oui, votre orgueil doit être immense,
Car, grâce à notre lâcheté,
Rien n'égale votre puissance,
Sinon, votre fragilité.

Mais toute puissance sur terre

Meurt quand l'abus en est trop grand,
Et qui sait souffrir et se taire
S'éloigne de vous en pleurant.

Quel que soit le mal qu'il endure,
Son triste sort est le plus beau.
J'aime encore mieux notre torture
Que votre métier de bourreau.

 

Alfred de MUSSET

 

 

 

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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 09:59

 

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Au gré du vent

 

 

Eole lève toi, maître de tous les vents,

Soulève ce matin la brise du printemps,

Effleure les pétales du beau coquelicot,

Par un doux sirocco.

 

Eole lève toi, esprit des quatre vents,

Souffle froid de l’hiver caresse l’océan,

Emmène le Zéphyr sur la plaine et les monts,

Libère l’aquilon.

 

Eole lève toi, divinité du vent,

Soulage le nuage, éloigne-le à temps,

De la fin de l’été aux tempêtes d’automne

Bouscule le cyclone.

 

Eole lève toi et passe en coup de vent,

Ne casse le roseau, courbe le seulement,

Voyage joliment d’une brise légère

Par simple courant d’air.

 

Eole calme toi, à demain et bon vent,

Repose les marées jusqu’au soleil levant,

Apaise les campagnes et puis le bord de mer,

Jusqu’au grain du désert.  

 

Borée, Euros, Notos, et tous les vents contraires,

Soulevés les pensées de nos jeunes prières,

Soufflés nos mots d’amour, nos jolis sentiments,

Et hop... au gré du vent. 

 

Delphine (07/04/2010)

 

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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 07:17

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                     Les livres sont comme des voyages

                         Ils ouvrent des vies nouvelles

                              Ils sèment des rêves à la volée

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7 avril 2010 3 07 /04 /avril /2010 09:45

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Je vous propose de découvrir avec quelques photos le fameux parc des ETATS UNIS, le YELLOWSTONE dans l'état du Wyoming. (qui se traduit par "pierre jaune")

Créé en 1872 c'est le plus ancien parc du monde.

Il s'étend sur 8983 km2 et contient les deux tiers des geysers de la planète dont le fameux

"Old faithful" qui jaillit toutes les 90 mm.

C'est un endroit spectaculaire.

On y trouve des sources d'eau chaude, des Geysers, des animaux sauvages, des forêts, des sentiers pédestres etc...

 

Il est visité chaque année par près de 3 millions de personnes.

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Geyser est un type particulier de source d'eau chaude qui jaillit par intermittence

en projetant de l'eau à la haute température et de la vapeur.

 

Voici le fameux OLD FAITHFUL - à côté un très joli Arc en Ciel après un petit orage.

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Pour ceux qui veulent plus de renseignements sur ce parc magnifique,

voici un lien en français:

Cliquer ici

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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 11:00

Voici quelques photos de nos amis  les chats prises au salon du Chat à Paris

 

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